Déguster, ce n’est pas juste « goûter »
La dégustation est au cœur de l’univers du vin, des spiritueux, du saké et de la bière.
On croit souvent qu’il suffit d’avoir un bon palais pour bien déguster un vin.
Mais en réalité, la dégustation est un savoir-faire technique, qui demande méthode, rigueur et curiosité.
Que vous soyez amateur éclairé ou professionnel en devenir, il est facile de tomber dans des erreurs en dégustation courantes :
- Juger trop vite,
- Confondre émotions et analyse,
- Ou tout simplement… suivre son instinct sans structure.
Et ces erreurs en dégustation – même anodines en apparence – peuvent freiner votre progression, vous faire passer à côté de grands vins, ou vous décrédibiliser dans un cadre professionnel.
La bonne nouvelle ?
Ces erreurs en dégustation sont fréquentes, naturelles… et surtout corrigibles.
Chez Weeno, centre de formation agréé WSET, nous accompagnons chaque année des centaines d’élèves à structurer leurs dégustations et à développer une méthode fiable, analytique… et plaisante.
Dans cet article, on vous dévoile les 7 erreurs en dégustation les plus fréquentes et nos conseils pratiques pour les éviter — selon les standards enseignés dans les formations WSET en vins et spiritueux.
Que vous prépariez un examen WSET ou que vous vouliez simplement mieux déguster, ce guide est pour vous.

Erreur 1 : Déguster sans méthode (ou improviser à chaque fois)
“Je fais au feeling…”
Voilà la plus importantes des erreurs en dégustation et le meilleur moyen de ne jamais progresser.
Beaucoup de dégustateurs débutent à l’intuition, en se fiant à leurs impressions immédiates.
Mais sans structure claire, il devient vite difficile de comparer, mémoriser ou progresser.
La dégustation n’est pas une simple impression personnelle.
Pour pouvoir comparer les vins entre eux, il faut une grille de lecture claire, reproductible et objective.
Et c’est là que la plupart des amateurs (et parfois des pros) se perdent :
- Ils parlent d’un vin avec des mots flous : “il est bon”, “il a du caractère”, “j’aime pas trop”.
- Ils oublient d’analyser certains éléments essentiels (acidité, tanins, longueur, équilibre…).
- Ou ils mélangent tout : ce qu’ils sentent, ce qu’ils goûtent, ce qu’ils ressentent.
Résultat ?
Chaque dégustation est vécue en silo, sans réelle progression.
Impossible de se créer des repères fiables, de reconnaître les styles ou de défendre ses analyses dans un contexte pro.
Comment éviter cette erreur ?
Adoptez une méthode de dégustation structurée.
La méthode SAT du WSET (Systematic Approach to Tasting) est l’une des plus utilisées dans le monde par les sommeliers, cavistes et importateurs. Et elle vous apprend à décrire, analyser et évaluer un vin, un spiritueux, un saké ou une bière avec précision.
Elle repose sur 4 piliers :
- L’apparence (clarté, intensité, couleur)
- Le nez (propreté, intensité, arômes)
- Le palais (sucre, acidité, tanins, arômes, longueur)
- La conclusion (qualité, potentiel de garde)
Avec cette approche :
- Vous savez quoi observer et dans quel ordre.
- Vous construisez votre vocabulaire sensoriel.
- Vous pouvez comparer les vins entre eux, même des mois plus tard.
Résultat : vos dégustations deviennent comparables, rigoureuses, professionnelles.
C’est d’ailleurs la première chose que l’on apprend dans nos cours WSET, dès le niveau 1, puis en profondeur au niveau 2 et 3 pour éviter ces erreurs en dégustation.
Retrouvez également tous nos conseils pour réussir votre examen de dégustation sur cet article.

Erreur 2 : Se laisser influencer par l’étiquette ou le prix
“C’est un grand cru, donc c’est forcément excellent.”
“Il coûte 80 €, il doit être incroyable.”
“C’est bio, c’est forcément bon.”
“Je n’aime pas les vins espagnols.”
Si vous vous êtes déjà dit l’une de ces phrases, vous êtes tombé dans le piège du biais cognitif.
Un grand nom, une belle bouteille, un prix élevé… Et l’on imagine déjà que le vin est excellent.
Mais vous devez rester objectif(ve) pour éviter les erreurs en dégustation, surtout si vous travaillez dans le secteur ou préparez un examen.
En dégustation, l’une des erreurs en dégustation les plus courantes (et les plus insidieuses), c’est de juger un vin avant même de l’avoir goûté, en se basant sur :
- Son origine géographique,
- Son prix,
- Sa réputation ou son packaging,
- Une expérience passée (bonne ou mauvaise),
- Ou même… la personne qui vous l’a servi.
Résultat ?
Votre cerveau cherche à confirmer ce qu’il croit savoir, au lieu de se laisser guider par les sensations objectives.
Pourquoi c’est un vrai frein à votre progression ?
Parce que ce biais fausse votre perception, limite votre curiosité et vous empêche de développer un palais indépendant et critique.
Vous risquez de :
- Passer à côté de vins magnifiques mais peu connus.
- Surestimer certains crus prestigieux (et vous faire influencer par leur prix).
- Fermer la porte à certains styles, régions ou cépages… alors qu’ils pourraient vous surprendre.
C’est une erreur fréquente chez les professionnels comme chez les amateurs, et même chez les dégustateurs confirmés.
Comment éviter cette erreur ?
Pratiquez la dégustation à l’aveugle dès que possible.
C’est le meilleur moyen d’apprendre à évaluer un vin pour ce qu’il est, et non pour ce que vous pensez qu’il est.
Quelques idées concrètes :
- Dégustez en groupe en masquant les bouteilles.
- Demandez à quelqu’un d’autre de préparer les verres.
- Ne regardez la contre-étiquette qu’après avoir terminé votre analyse.
Dans les formations WSET, notamment au niveau 2 et 3, la dégustation à l’aveugle est un outil clé pour développer votre objectivité et évaluer le style, la qualité et le potentiel de garde :
- On vous apprend à identifier les arômes et la structure du vin sans vous laisser influencer.
- Vous évaluez le vin sur sa qualité intrinsèque, pas sur son prix, sa région ou son étiquette.
Et ce travail d’analyse neutre fait toute la différence, que vous soyez caviste, sommelier, restaurateur ou amateur curieux.

Erreur 3 : Se fier uniquement à ses préférences personnelles
“Je n’aime pas les vins blancs, donc je sais que celui-là est mauvais.”
“J’adore ce vin, il mérite forcément une médaille.”
“Je n’aime pas le Riesling sec, donc c’est un vin de mauvaise qualité.”
Cette erreur est l’une des plus fréquentes : confondre ses goûts personnels avec la qualité d’un vin. C’est humain…
Mais en dégustation, cela fausse toute analyse professionnelle ou pédagogique.
Distinguer goût personnel et qualité objective, c’est fondamental dans une dégustation professionnelle.
Pourquoi c’est problématique ?
Parce que vos goûts ne sont pas une référence universelle.
Un vin peut :
- Ne pas vous plaire du tout… et pourtant être très bien fait, équilibré, typique et qualitatif.
- Vous séduire instantanément… et pourtant être déséquilibré, commun ou techniquement mal maîtrisé.
Un bon dégustateur ne juge pas uniquement selon ses préférences.
Il est capable de reconnaître la qualité d’un vin qu’il n’aime pas, et d’identifier les défauts d’un vin qu’il adore.
Comment éviter cette erreur ?
Faites la distinction entre goût personnel et évaluation objective.
Lors de vos dégustations, posez-vous deux questions :
- Est-ce que j’aime ce vin ? (question personnelle)
- Ce vin est-il bien fait ? (question technique)
Apprenez les critères de qualité pour éviter les erreurs en dégustation.
En formation WSET, cette distinction est centrale :
- Vous apprenez à évaluer la qualité intrinsèque d’un vin selon des critères précis : équilibre, intensité, longueur, complexité.
- La méthode SAT (Systematic Approach to Tasting) vous aide à structurer votre analyse, même si le vin dégusté n’est pas à votre goût.
C’est ce qui vous permet de :
- Conseiller un client sans projeter vos goûts.
- Noter un vin lors d’un concours.
- Gagner en crédibilité dans vos choix professionnels.
Exemple vécu :
Un Riesling sec et tendu d’Allemagne ne plaira pas à tout le monde. Mais s’il est équilibré, précis, avec une belle intensité aromatique… c’est un très bon vin, que vous l’aimiez ou non.

Erreur 4 : Se précipiter au lieu d’observer
“Allez hop, je goûte direct.”
“J’ai senti vite fait, j’ai pas trouvé d’arômes.”
“Il est rouge foncé, donc ça doit être un Syrah costaud.”
Beaucoup de dégustateurs débutants (et même certains confirmés) brûlent les étapes : ils vont trop vite, veulent “trouver le cépage” ou “donner leur avis” dès la première gorgée…
Et ils passent à côté de l’essentiel : l’observation lente, patiente, analytique.
Pourquoi c’est un problème ?
Parce que la dégustation professionnelle n’est pas un sprint, c’est une enquête.
Chaque étape vous donne des indices : la couleur, la brillance, les larmes, les arômes au nez, la structure en bouche…
Mais pour les percevoir, il faut ralentir, observer, laisser le vin s’ouvrir.
En vous précipitant :
- Vous ratez des informations visuelles et olfactives essentielles.
- Vous influencez votre jugement en bouche (parce que vous avez déjà “décidé” ce que vous buviez).
- Vous perdez en précision, en mémoire et en progression.
Comment éviter cette erreur ?
Appliquez une approche méthodique et progressive, comme celle enseignée en formation WSET avec la méthode SAT :
- Regardez le vin : sa clarté, sa couleur, ses larmes donnent déjà des infos sur son âge, son style, sa concentration.
- Sentez à distance, puis de plus près, pour capter les arômes légers comme les plus intenses.
- Goûtez lentement, en analysant les équilibres : sucre, acidité, tanins, alcool, intensité, longueur.
- Concluez en notant sa qualité, sans vous précipiter.
Conseil WSET : Fermez les yeux quelques secondes en sentant un vin pour mieux percevoir les arômes volatiles. Et ne cherchez pas tout de suite “le cépage” : concentrez-vous d’abord sur ce que vous ressentez objectivement.
Astuce de pro
Prenez des notes à chaque étape. Cela vous oblige à ralentir, à structurer vos sensations… et à progresser plus vite !
Envie d’apprendre à éviter ces erreurs en dégustation et à déguster comme un pro ?
Découvrez nos formations WSET en vin – en présentiel ou en ligne, avec accès à des kits de dégustation, des quiz interactifs et un formateur certifié.

Erreur 5 : Déguster dans de mauvaises conditions
“Je l’ai trouvé fermé… bizarre.”
“Je l’avais goûté la semaine dernière, il était bien meilleur !”
“C’est sûrement pas un bon vin, j’ai rien senti.”
Et si ce n’était pas le vin le problème… mais le contexte de dégustation ?
Beaucoup d’amateurs négligent trois facteurs fondamentaux :
- Le verre
- La température de service
- Et l’ordre dans lequel on goûte les vins
Et pourtant, chacun de ces éléments peut fausser complètement votre perception sensorielle.
Pourquoi c’est un problème ?
En dégustation, chaque détail compte.
Un mauvais verre peut étouffer les arômes.
Un vin blanc trop froid ou un rouge trop chaud déséquilibre le goût.
Déguster un vin fin après un vin puissant le rend invisible.
Résultat ?
- Vous croyez qu’un vin est “moyen” alors qu’il est simplement mal servi.
- Vous passez à côté de sa vraie qualité.
- Vous vous trompez dans votre analyse, et vous ne progressez pas.
Comment éviter cette erreur ?
Soignez votre environnement de dégustation.
Voici les règles de base enseignées dans nos formations WSET :
- Le bon verre, toujours
- Utilisez un verre ISO ou INAO : forme tulipe, fond étroit, ouverture resserrée.
- Évitez les verres épais, évasés, ou trop petits : ils piègent les arômes ou déséquilibrent la perception.
- La bonne température
- Blanc sec & rosé : 8-10°C
- Blanc aromatique / doux / mousseux : 6-8°C
- Rouge léger : 12-14°C
- Rouge structuré / vieilli : 16-18°C
Astuce WSET : Un vin trop froid paraît fermé et acide. Un vin trop chaud accentue l’alcool et gomme la fraîcheur.
- L’ordre de dégustation
- Toujours du plus léger au plus intense, du sec au sucré, du jeune au plus évolué.
- Un vin corsé ou boisé peut saturer le palais et ruiner la perception du vin suivant.
- Faites des pauses, rincez votre verre, croquez du pain neutre si besoin.
Conseil de pro
Avant toute dégustation sérieuse, stabilisez les conditions : même type de verre, température maîtrisée, pas de parfum ni d’odeurs fortes autour, bouteille ouverte 15 à 30 min avant (selon le style), lumière naturelle si possible. Ce sont les bases de l’analyse sensorielle objective.

Erreur 6 : Ne pas prendre de notes précises
“C’était un super vin… mais je ne me rappelle plus du nom.”
“Il me semble que j’ai déjà goûté ça… mais impossible de me souvenir si j’avais aimé ou pas.”
Celle-ci est extrêmement courante dans les erreurs en dégustation, même chez les passionnés de vin.
On déguste, on apprécie, on échange…
Mais on ne note rien.
Résultat ?
Quelques jours plus tard, impossible de se souvenir du nom du vin, du domaine, du millésime, du cépage… ou même de ce qu’on en a pensé.
Et au moment de recommander ce vin ou d’en reparler, tout est flou.
Pourquoi c’est un problème ?
- Sans notes claires, votre progression stagne.
- Vous perdez des références.
- Vous oubliez vos ressentis.
- Vous ne construisez aucune mémoire gustative fiable.
Or, c’est cette mémoire qui permet à un professionnel (ou un amateur éclairé) de reconnaître des styles, des régions, des cépages — et de comparer objectivement les vins entre eux.
C’est aussi ce qui vous permet de savoir ce que vous aimez vraiment, au-delà des impressions du moment.
Comment éviter cette erreur ?
- Utilisez une méthode structurée
C’est ce que vous apprend la méthode SAT (Systematic Approach to Tasting) du WSET. Elle vous donne un vocabulaire universel et vous apprend à décrire précisément un produit : intensité, arômes, style, qualité, potentiel de garde… avec une grille claire pour noter l’apparence, le nez, le palais et la conclusion.
Exemple de notes :
- Nez : intensité moyenne, fruits noirs mûrs, vanille, clou de girofle
- Palais : sec, tannins moyens, acidité élevée, corps moyen, arômes cohérents
- Conclusion : vin équilibré, bon à très bon, prêt à boire ou à garder 2-3 ans
Cette approche permet de comparer des vins de façon neutre, rigoureuse et reproductible. Et de vous y retrouver des mois ou des années plus tard.
- Créez votre propre carnet de dégustation
Vous pouvez :
- Utiliser un carnet papier ou un journal de dégustation
- Créer un tableau Excel ou Notion
- Télécharger des apps comme Vivino ou WineNotes (avec modération)
Conseil WSET
Notez systématiquement :
- Le nom du vin / producteur / millésime
- Les conditions de dégustation (verre, température, accompagnement)
- Vos ressentis objectifs (structure, arômes)
- Vos impressions personnelles
- Prenez des photos
Une simple photo de la bouteille, associée à vos notes, peut sauver votre mémoire.
Idéal si vous êtes en dégustation à l’extérieur, chez des amis ou au restaurant.
Dans nos formations WSET, on ne se contente pas de dire “ce vin est bon”.
On vous apprend à :
- Décrire objectivement un vin
- Justifier ses impressions
- Comparer plusieurs vins
- Construire une mémoire sensorielle solide
Et pour cela, les notes de dégustation sont la base de tout apprentissage.
Chez Weeno, nous vous fournissons des modèles de fiches, et nous vous entraînons à les remplir comme un pro.

Erreur 7 : Déguster sans feedback ni progression
Beaucoup de dégustateurs stagnent car ils ne reçoivent jamais de retour.
Ils goûtent seuls, sans savoir s’ils sont dans le vrai, ou comment s’améliorer.
C’est une erreur subtile mais redoutable : on pense s’améliorer simplement en dégustant plus souvent…
Mais sans feedback structuré ni réelle remise en question, on tourne en rond.
On reste dans sa zone de confort, avec ses automatismes… et ses biais.
C’est un peu comme apprendre un instrument sans jamais s’écouter jouer, ni recevoir de correction.
Pourquoi c’est un frein à votre progression ?
Même si vous goûtez beaucoup de vins, vous risquez de :
- Répéter les mêmes erreurs en dégustation d’analyse (sur les arômes, l’équilibre, la qualité)
- Avoir un vocabulaire limité ou flou
- Confondre plaisir personnel et qualité objective
- Rester dépendant des avis extérieurs (étiquettes, notes Parker, cavistes…)
Et surtout : vous n’apprenez pas activement.
Or, la dégustation est une compétence, et comme toute compétence, elle se développe avec une méthode, du feedback, et de la pratique dirigée.
Comment éviter cette erreur ?
Formez-vous avec des experts.
- Faites des dégustations guidées
Rejoignez un club, un atelier ou une formation où :
- Vous êtes encadré par un formateur certifié
- Vous comparez vos ressentis à ceux du groupe
- Vous recevez des retours précis et constructifs
Nos formations WSET sont pensées pour ça : chaque séance inclut des dégustations commentées où vous affinez vos ressentis et apprenez à justifier vos impressions.
- Corrigez-vous avec des références
Après chaque dégustation :
- Comparez vos notes à celles d’un formateur ou d’un guide (ex : SAT officiel, Wine Advocate,…)
- Posez-vous ces questions :
- Ai-je bien identifié les arômes majeurs ?
- Mon analyse de la structure (acidité, tanins, alcool, corps…) était-elle juste ?
- Est-ce que je peux mieux formuler ma conclusion sur la qualité du vin ?
- Suivez votre progression
Utilisez un carnet ou un outil digital pour suivre :
- Les styles de vins que vous avez dégustés
- Les compétences que vous avez consolidées (arômes, équilibre, qualité, etc.)
- Les points que vous devez retravailler
En gardant une trace de votre évolution, vous vous donnez des objectifs clairs.
Et chaque dégustation devient un entraînement ciblé, pas juste un moment agréable.
Chez Weeno, toutes nos formations WSET intègrent :
- Des grilles de dégustation professionnelles
- Des dégustations comparatives (ex : 2 Chardonnays, 3 Pinot Noirs…)
- Des feedbacks personnalisés
- Une progression logique du niveau 1 au niveau 3
Résultat : vous ne buvez plus simplement un vin — vous êtes capable de l’analyser, de l’évaluer, de l’expliquer.
Et c’est là toute la différence entre boire du vin… et savoir déguster.

Ne laissez pas ces erreurs en dégustation freiner votre progression
Si vous aimez le vin, vous méritez de le comprendre.
Et la dégustation est le meilleur outil pour ça.
Mais encore faut-il éviter ces erreurs en dégustation :
- Déguster sans méthode
- Se laisser influencer par l’étiquette
- Se fier uniquement à ses goûts personnels
- Se précipiter au lieu d’observer
- Déguster dans de mauvaises conditions
- Ne pas prendre de notes
- Déguster sans feedback ni progression
Bonne nouvelle : toutes ces erreurs en dégustation se corrigent.
Et c’est exactement ce que vous apprendrez dans nos formations WSET chez Weeno : Des cours structurés, progressifs, clairs — pour voir, goûter, comprendre et retenir.
Chez Weeno, nous formons chaque mois des élèves passionnés ou professionnels à l’art de la dégustation :
- Cours en ligne ou en présentiel
- Kits de dégustation livrés chez vous
- Formateurs certifiés et passionnés
- Accès à des ressources exclusives, quiz, fiches
- Certification WSET reconnue dans + de 70 pays
Apprenez à déguster comme un pro, structurez vos connaissances, et obtenez une certification internationale.
👉 Réservez votre prochaine session de formation en ligne ou à Paris / Marseille sur weenodrinksacademy.com
👉 En présentiel à Paris ou Marseille, ou en ligne avec nos kits de dégustation.